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Source: Javier Milei : ces résultats économiques spectaculaires que la France ignore – L’Express
La classe politique française, d’ordinaire si prompt à citer en exemple les pseudos succès d’étatistes à travers le monde, est bizarrement silencieuse depuis que Javier Milei enchaîne les réussites concrètes et tangibles. Peut-être craignent-ils de voir leur image écornée par celle du sulfureux président argentin. Ou ne veulent-ils pas reconnaître qu’ils s’étaient trompés sur son compte, lui qu’ils présentaient comme un “diable turbo libéral” lors de son élection. Dans tous les cas, personne ne peut ignorer les succès éclatants de la politique menée par Milei et son équipe depuis un an et demi. Voici un petit d’horizon qui ne manquera pas de convaincre les derniers sceptiques.
Les prévisions de l’OCDE annoncent que l’économie argentine va croître à un rythme de 5,7 % cette année et 4,8 % en 2026, en faisant la deuxième plus dynamique au monde. Les prévisions des instituts argentins sont encore supérieures. Le taux de pauvreté s’est effondré durant les six derniers mois, passant en dessous de son niveau de novembre 2023, lors de la prise de fonction de Milei (36 % contre 40 %). Les salaires réels ont augmenté de 3,8 % dans le privé et 7,9 % dans le secteur informel, selon l’Indec (l’Insee argentin). Quant au déficit budgétaire, c’est désormais un vieux souvenir : les excédents se succèdent depuis plus d’un an. La note de l’Argentine par les grandes agences de notation ne cesse de s’améliorer.
De nombreuses marques internationales reviennent dans le pays, à la faveur des levées de restrictions douanières et fiscales, et les capitaux étrangers afflux. En mars et en avril, 6 milliards de dollars d’investissements ont été annoncés. Le marché boursier de Buenos Aires a pris 40 % en un an. Les réussites de Milei ne sont pas qu’économiques. L’action du gouvernement garantit aussi la sécurité des Argentins, socle indispensable à leur liberté. Le taux d’homicide a chuté de 17 % à l’échelle nationale et de 70 % dans les zones concernées par le plan Bandera, mettant sous contrôle fédéral les quartiers les plus dangereux du pays. Le plus incroyable reste peut-être que Milei est parvenu à ces résultats tout en mâtant l’inflation, véritable cancer de l’économie argentine depuis des décennies. Il a même pu se permettre le luxe de mettre fin au contrôle des changes, strict depuis les années Kirchner, sans voir le peso s’effondrer. Le taux d’inflation est de 2,8 % mensuel alors qu’il avait atteint les 25,5 % fin 2023 ! Tous ces résultats ne sont pas vains. Milei rend aux Argentins le fruit de leur labeur. Quasiment quotidiennement des annonces de baisses d’impôts donnent de l’espoir à un peuple qui était étouffé par la fiscalité. Ce sont déjà 12 milliards d’euros de charge fiscale qui se sont envolés en 18 mois.
